Fort Ney-Rapp (Fransecky-Molke)
Ouvrage intermédiaire de la ceinture de forts de Strasbourg, l’ouvrage voit sont importance accrue en 1916 (Philippe BURTSCHER, De la ceinture fortifiée de Strasbourg à la position de la Bruche, Cercle d’Etude des Fortifications, Société d’Histoire de Mutzig et environs, 1999, page 384) par la construction de deux encuvements pour tourelle de canon de 10,5cm.
Le gros œuvre est achevé pour les encuvements mais les tranchées couvertes restent inachevées.
Dans les années 30, les français entretiennent ou réactivent cette batterie, cela étant attesté par des photos prises en 1940 par les allemands. Les français semblent avoir détruit les casernes et probablement sabordé les pièces d’artillerie avant de se retirer à la mi-juin 1940.
L’emploi de ces pièces d’artillerie s’explique par le fait que Strasbourg était organisé comme une môle fortifiée, indépendante des sous-secteurs voisins. Ces pièces couvraient le flanc gauche de la position de Strasbourg dans le cas ou l’ennemi aurait franchi le Rhin plus au Nord.
Aujourd'hui, la caserne de l’ouvrage étant régulièrement et illégitimement habitée par des marginaux, la commune achève le travail entamé dans les années 60 (comblement du fossé de l’ouvrage) en scellant la façade de la caserne et les encuvements sous des volumes de terre au point que l’ouvrage ne se devine qu’aux yeux des amateurs éclairés.
Dans les années 30, les français entretiennent ou réactivent cette batterie, cela étant attesté par des photos prises en 1940 par les allemands. Les français semblent avoir détruit les casernes et probablement sabordé les pièces d’artillerie avant de se retirer à la mi-juin 1940.
L’emploi de ces pièces d’artillerie s’explique par le fait que Strasbourg était organisé comme une môle fortifiée, indépendante des sous-secteurs voisins. Ces pièces couvraient le flanc gauche de la position de Strasbourg dans le cas ou l’ennemi aurait franchi le Rhin plus au Nord.
Aujourd'hui, la caserne de l’ouvrage étant régulièrement et illégitimement habitée par des marginaux, la commune achève le travail entamé dans les années 60 (comblement du fossé de l’ouvrage) en scellant la façade de la caserne et les encuvements sous des volumes de terre au point que l’ouvrage ne se devine qu’aux yeux des amateurs éclairés.
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